Mariage de Pénélope et de Féanaro Seigneur de Neuville

Nombre de messages : 1 Localisation IG : Valence Date d'inscription : 28/02/2009

Hermance prit le temps de choisir de beaux habit pour cette journée. Une ancienne amie, et frère d'arme allée se mariée, il avait reçut une invitation, et il avait répondu présent pour se jour. De Valence il partit tôt pour etre a l'heure pour la cérémonie se déroulant en Dié.

Une fois arrivée en la ville, il se dirigea vers l'eglise. Déjà beaucoup de monde etait présent. Il salua les quelques connaissance qu'il croisa. Une fois qu'ils pouvaient entrée en l'église, il prit place dans le milieu des rangée que compté l'église.

Regardant les autres invitée, il trouva qu'il y avait beaucoup d'autre soldats venant des garnison du Lyonnais et du Dauphiné. Il croisa le regard d'Ericx, et un peu plus loin, celui de Cerius.

Un silence s'installa, et Pénélope fit son apparition a l'entrée. Tous la voyant se mirent debout. Elle commença a avancée doucement vers l'hotel.

DeDe s'était reveillé difficilement, Golden elle avait l'air en forme et était déjà levée. Il fît donc de même et alla manger un bout rapidement avant d'aller faire sa toilette et se preparer au mariage de Pénélope.
Il avait enfilé de belles braies, une très belle chemise ... en somme, il était élégamment vêtu.
Il se pencha vers Golden, qui elle arborait une magnifique robe, il ne put s'empêcher de penser qu'il appréciait essentiellement les mariages pour celà.
Il lui demanda son avis concernant sa tenue puis une fois prêt, il purent se mettre en route vers la Cathedrale épiscopale de Die.

Une fois entré dans la cathédrale, il ne put à peine jeter un coup d'oeil aux personnes présentes qu'il se fit entrainer par sa compagne vers les premiers rangs. Là etaient assis des anciens viennois, notamment Elyzabel et Valerianne. Il leur sourit.

Heureux de vous revoir cheres amies.

Il se tut lorsque les portes s'ouvrirent. Pénélope fit son entrée elle était rayonnante, son frere Balian avait lui aussi l'air très heureux. Un grand moment se preparait et DeDe se faisait un plaisir d'y assister.

Le coche s'arrêta devant l'église. Enfin ils y étaient! Bien que leur auberge se trouvait à quelques rues de celle-ci, l'on avait insisté pour emmené le nouveau Gouverneur avec celle-ci, d'autant plus qu'avec lui c'était toute sa petite famille qui venait pour assister à ce mariage tant attendu. La porte du coche s'ouvra sous la main d'un garde aux couleurs du Dauphiné et c'est un Hardryan tout sourire qui en sorti le premier. Se retournant, il aida sa fille ainée qui allait bientôt célébrer ses 7 ans à descendre les marches de la voiture avant de se pencher plus avant pour saisir son autre petite fille, Lou qui marchait depuis quelques mois seulement. Les deux petites étaient vêtues de jolies petites robes, elles étaient ses petites princesses. Il posa doucement Lou devant sa soeur qui en prenait grand soin à tout moment, même quand celle-ci n'arrêtait pas de babiller comme c'était le cas présentement. Encore une fois, Hardryan se pencha vers l'intérieur du coche, mais cette fois, c'est un tout petit bébé bien emmitouflé qui pris place dans ses bras: Ewen, son petit prince. Et enfin, son épouse dans une splendide robe bleue lui fit l'honneur de son plus beau sourire avant de prendre appui sur son épaule pour s'aider à descendre. Il lui sourit, son bonheur était aussi grand que le jour de leur mariage.

La petite troupe escortée de quelques gardes s'avança donc, l'escalade du parvis fut un peu plus laborieuse que prévu pour Lou, mais celle-ci eut l'aide de sa soeur ainée qui veillait encore sur elle. Alwen quant à elle avait repris son fils dans ses bras et gardait un oeil attentif à tout ce petit monde, y allant de saluations aux gens qu'elle croisait, tout comme Hardryan. Il y avait tant de monde! Nombre de leurs amis étaient là et cela faisait chaud au coeur de tous les voir réunis pour cette si belle journée.

Enfin ils franchirent les portes de l'église et remontèrent la nef jusqu'au devant de celle-ci où on leur avait gardé une place... Flora qui avait aperçu son "oncle" décida cependant de ne pas rester là, elle alla trouver Radoub... Hard qui l'avait suivi des yeux se mit donc à rire un peu, saluant son cousin d'un signe de tête.

Il reprit son sérieux et sourit à son épouse alors que la future mariée remontait l'allée...

Elle pensait sincèrement avoir le temps de souffler un peu avec Lotus...
Rester dans le silence et perdre son regard dans la contemplation béate des fleurs....
Peine perdue...
Féa faisait son entrée...
Elle se leva rapidement de sa chaise et tira machinalement sur sa tignasse et sa robe.
Lui sourit discrètement et resta sagement derrière Lotus.
Déjà les premiers invités arrivaient...
A partir de ce moment là, Giemsa se fit discrète, vague sourire sur les lèvres..repérant les visages connus et observant discrètement les inconnus.
Et Péné fit son entrée au bras de Bali....

Seigneur..Qu’elle était belle!

Machinalement, elle prit appui à sa chaise, partagé entre l'envie de rire et de pleurer.
Son amie, celle qui l'avait si bien rattrapé par le bras pour l'empêcher de tomber, sa complice de tant de fous rires, de tant de confidences.
Son amie...

Péné remontait lentement l'allée centrale et sa pâleur allait en s'amplifiant.
Bali n'avait pas beaucoup de couleur non plus.

Retenant tant bien que mal les larmes qui lui picotaient les yeux, elle toussota discrètement et redressa la tête.
Cherchant machinalement réconfort auprès de Lotus, elle se rapprocha discrètement d'elle et maitrisa un sursaut.

Téméraire! Bon sang!
T'étais passé où?
Tssssssss,
Lolotte...Ta grenouille ...j'l'ai retrouvé...

Regards furtifs vers les futurs mariés...

L'a pas intérêt à bouger ta bestiole, sinon Péné nous étripe...

Apres avoir chevaucher plusieurs jours pour venir à leurs mariage, Bea défroissa sa robe et entra au bras de Joss saluant certaines personnes qu’elle reconnu. Ce jour devait être le plus beau pour Péné et Fea

Ils s’installèrent dans l’église quand les cloches se mirent à carillonner. L’entrée de Péné fût taire tout le monde, elle était d’une beauté éblouissante son visage rayonnais de bonheur.

Bea sera ma main de Joss et lui murmure : Elle est de toute beauté mon cœur même sans ses bottes

Puis elle se tourna vers Fea qui lui-même avait les yeux brillant en la voyant

L'église s'était remplie de convives. Camisard était ému de voir sa cousine si radieuse. Bali semblait touché par le caractère sacré de ce moment; sa sœur qu'il chérissait tant allait désormais être unie à son ami. Ce moment si précieux ne devait pas être gâché par les fourberies du jeune Erling. Aussi Cami gardait constamment un œil sur le jeune homme. Arfff , après tout, Alandrisse pouvait le surveiller à sa place. Il avait le droit de profiter de cet instant sans se soucier de rien.

Le Rouennais se tourna donc vers son amie et lui sourit, il lui chuchota : Pénélope est resplendissante et ça m'emplit de joie.

Puis furtivement il laissa ses doigts frôler ceux de Timonstre, celle-ci ne semblait pas les repousser. Avançant encore ses doigts il prit la main de la Normande.

Cette allée était interminable, plus que quelques pas et elle y serait enfin.
Quand son regard croisa celui du tout nouveau Gouverneur elle lui sourit, sa patience envers elle la touchait chaque jour un peu plus, Hard, un ami de tous les instants, authentique et sincère, pourtant dieu sait que leur première rencontre durant la guerre de Bretagne fut houleuse, elle faillit même rire en y repensant.

Alwen et les enfants étaient là eux aussi, Pénélope posa un oeil attendri sur les deux petites filles avant d'être à nouveau confrontée à d'autres sourires, elle finit par se détendre légèrement quand elle vrilla de la pupille sur Golden, sa choupinette de Vienne et Dédé qui la suivait de tout près.

Inconsciemment elle allongea son pas, l'autel était tout proche, Géro saurait trouver les mots justes pour ne pas qu'elle sombre dans l'état de panique tant redouté.

Elle se retourna une dernière fois, eut le temps d'apercevoir Béa et Joss, puis fit face à ses deux amies qui s'étaient données tant de mal pour tout organiser.

Une fois Aldraien parti s'assurer que Péné s'était bien extirpée des bras de Morphée, Lotus avait dégainé son sourire le plus radieux pour saluer tour à tour les invités qui continuaient d'arriver.
D'abord Lighwarrior.

Bonjour, comment allez vous?
Je ne serais pas en avance par hasard?

Bonjour Light, mieux vaut être en avance qu'en retard pour un événement pareil...

Puis se fut le tour de Tazspike :

bonjour les filles hé bien vous êtent vraiment superbe dans ses jolie robes et puis dis donc la deco wouaaa !!! péné vas adorée

Elle gloussa comme une pintade en regardant Giemsa et lui répondit :

Si tu savais ce qu'on a sué pour en arriver à ça...

Déjà Gamin venait les saluer aussi. Tournée de bisouilles et une voix hésitante qui leur dit :

Euh... ben... chef Lo...euh... Lotus, wow; et toi Giem... ben... je sais même pas quoi vous dire tellement vous êtes... belles toutes les deux!

Elle lui donne une tape amicale sur l'épaule et lui répond :

Détends toi Gamin... C'est juste nous avec un déguisement de circonstance...

Tout impressionné il vire au rouge se gratte la tête et part vite saluer d'autres personnes.
Coup de coude à Giemsa :

Nos robes-qui-en-jette font de l'effet, j'ai l'impression...

Gloussements pintadesques, main devant la bouche, s'arrête juste à temps pour voir arriver son idole. Une éternité qu'elle ne l'avait pas vu... Elle le regarde comme d'habitude, de l'adoration plein les yeux

Bonjour Lotus, comme tu le vois, grace a gero, j'ai pu arriver a temps.

Bonjour Deep

Tu es magnifique dans cette robe, elle te va a ravir.

Elle rougit légèrement, c'est qu'elle a pas l'habitude d'entendre son idole lui parler comme ça... Du coup elle en reste sans voix.

Je vois que tout est prêt et que bon nombre d'invité son présent.
Où dois je m'assoir dis moi ?

Elle regarde les bancs et lui montre du doigt une place :

Tu n'as qu'a aller te poser par là-bas..

Elle le regarda s'installer et encore sous l'effet de l'extase que lui procurait à chaque fois la vision de son idole number one, elle entendit la voix d'Arwel qui la ramena à la réalité :

Bonjour Lotus ! Tu es magnifique et tu as effectué un travail magnifique pour la décoration de l'église, bravo !

Bonjour Arwel ! Tu es superbe toi aussi, comme toujours.

Elle la bisa à son tour

Je te laisse, tu dois encore avoir beaucoup à faire, j'ai aperçu Géronimo, je vais aller le saluer.

D'accord. Ma tique est là ?
Je ne l'ai point vu...

Elle jeta un oeil circulaire dans l'église qui commençait à être bondée de monde et l'aperçut un peu plus loin. Il était sur son trente et un. Faudrait qu'elle pense à le complimenter, mais plus tard. Pour l'heure il était grand temps qu'elle rejoigne sa place aux côtés de Giemsa.
Elle en profita pour saluer d'un sourire où d'un signe de tête les autres personnes qu'elle connaissait.

Et la mariée fit son entrée...
Elle en eut le souffle coupé.
L'Ost avait là son arme secrète... A la prochaine guerre suffirait de faire avancée Péné ainsi vêtue et l'armée adverse laisserait tomber les armes...

Complètement bouleversée, elle porta son regard sur celui qui accompagnait Péné. Elle faillit défaillir en le voyant si ému.
Son regard se pose sur elle, elle lui offre un tendre sourire et ne le lâche plus des yeux.

Téméraire! Bon sang!
T'étais passé où?
Tssssssss,
Lolotte...Ta grenouille ...j'l'ai retrouvé...

Le murmure de Giemsa la fait sursauter

L'a pas intérêt à bouger ta bestiole, sinon Péné nous étripe...

Discret claquement de langue de Lotus et regard noir à la grenouille :

Téméraire sur mon bras et tu bouges plus !!!

La bestiole bondit sur son bras droit et s'immobilise, juste à temps, La mariée leur fait face.

Gam avait été prévenu de l' arrivée imminente du nouveau Gouverneur et sa famille et prié par ses supérieurs de l' attendre et de les escorter jusqu' à leurs places.
Il prit quelques gardes avec lui et se posta donc sur le parvis de la paroisse lorsqu' un coche fit son apparition; Gam fit signe aux hommes de se tenir prêt, ce qu' ils firent rapidement. Un rapide coup d' oeil vers eux, il se dirigea et ouvrit la porte au Gouverneur. Celui-ci descendit avec sa famille et Gam s' inclina pour les saluer.

Mes respects Gouverneur!
Homme d' armes Gamin, à votre service! J' ai été envoyé pour vous escorter jusqu' à vos places.

Donnant les instructions aux gardes, Gam guida le Gouverneur jusqu' au premier rang.

Voilà Gouverneur, voici vos places.
Passez un agréable moment, et si besoin, vous savez où me trouver.
A bientôt.

Il s' éloigna et reprit place aux côtés de ses compagnons.

l'oiselier avait mit ses plus beaux habits, puis était venu voir le mariage.
Entré par une petite porte il s'était glissé dans un recoin d'ou il pouvait admirer les convives si biens vétus , (notemment les demoiselles d'honneure) et suivre la cérémonie qui se promettait d'être somptueuse.
Et le tout sans attiré l'attention sur lui même.
Déja, il observait la promise qui descendait gracieusement l'allée centrale vers le coeur.

Timonstre regardait la mariée avancée dans l'allée... elle était vraiment resplendissante... son frère l'escortait jusqu'à l'autel... Tim souriait de voir Camisard surveiller son cousin... ce dernier devait sûrement pas être un ange...

Cami se tourna alors vers elle et lui adressa un petit chuchotement au sujet de sa cousine... on voyait dans son regard l'admiration qu'il avait... et la joie d'être là pour ce grand moment... elle lui répondit tout aussi bas à l'oreille...

Tu as bien raison elle est magnifique...

Elle sentit alors ses doigts frôlés les siens... elle sourit doucement et le laissa prendre sa main... il avait fait le voyage ensemble et il était toujours là quand elle avait besoin... sa présence la rassurait toujours... elle lui serra donc la main pour la garder et sourit...

Invité

Laura avait eu un mal fou à trouver une personne pour garder la petite. Entre les marchands qui tenaient le marché et le mariage qui avait lieu, les personnes disponibles s'étaient faites rares. Une fois Aude laissée entre de bonnes mains, elle se précipita dans sa ferme et passa la tenue confectionnée pour l'occasion, quoique peu adaptée à la saison. Mais elle se devait d'être présentable pour le mariage de Pénélope et Féanaro.

Une chemise blanche légère, aux col et manches courtes brodés de quelques ajouts de dentelle, portant par dessus une veste noire ; des braies longues dans un tissu bien plus épais, teintées de bleu, et son fameux chapeau de paille qui ne la quittait jamais lorsqu'elle était en civil.

Une fois apprêtée, et se sachant à la bourre, elle passa un coup rapide dans ses cheveux et courut jusqu'à l'église où se tenait la cérémonie. Elle arriva sur le parvis de l'église et s'aperçut que la cérémonie avait déjà débutée. Encore plus en retard que ce que j'avais imaginé maugréa-t-elle en se faufilant de pilier en pilier après avoir ôté son chapeau. Elle contempla les multiples et merveilleuses décorations qui agrémentaient les vieilles pierres de l'édifice d'une multitude de couleurs. Elle s'installa dans un rangée proche du fond, entre deux inconnus, restant debout pour contempler la mariée remonter l'allée, au bras de son frère.

Une vague de félicité lui emplit le coeur de voir Péné si belle dans cette robe. Elle rayonnait, même de dos. Elle essaya ensuite de deviner quelles étaient les personnes présentes, chose difficile de dos.

Il avait rejoint l'autel derrière lequel se trouvait Lotus qui les deux mains poser sur le marbre semblait impérieuse. Il se retint de rire.

Je vois que supervise le placement ma patate.

Il vint se mettre à coté d'elle et regarda les gens prendre place.
Il reconnu la fille du défunt Valatar, parmi tant d'autre qui venait partager ce moment de joie.

Il vit péné entrer dans l'église au bras de son frère. Décidement il ne comprenait pas grand chose, la mariée ne devait-elle pas entrer plus tard ... Peut importe elle devait surement avoir à se préparer.
Elle était ravissante, fea avait de la chance. Elle salua les gens qui l'apostrophaient et se rapprocha petit à petit de l'autel.
Il vint à sa rencontre.

Tu es ravissante péné, vraiment. Si féa est en retard je t'épouse.

Il la regarda en se retenant de rire.

Elle avait déposé son cadeau et maintenant elle allait attendre que la cérémonie commence. Elle s'installe sur un des bancs et attend sagement que Maï et Zeide n'arrivent.

Elle regardait les arrivés et les arrivants. Reconnaissant certains visages. Elle cherchait sa cousine, elle lui avait dit, être demoiselle d'honneur, elle ne devait pas être très loin.

Elle la voit enfin et lui fait signe avec un sourire. Elle était superbe dans sa robe de cérémonie, mais la plus belle était là mariée qui était en train de traverser l'aller ...

Superbe, vraiment. La robe lui allait à ravir, la coiffure également. Il sourit en pensant à la guerrière sauvageonne qu'il avait connue en Bretagne, celle qui noyait son mal du pays a grands coups de bourbon et de fromage de chèvre. (pas les deux en même temps, hein).

Curieux, il observa la fière allure de la procession, et plus il les voyait, tous , plus l'envie de marquer le coup devenait irrépressible. L'envie de bousculer le protocole, aussi.

Il se leva, décidé, repoussa sa cape en arrière, et encombré par sa lourde épée, qu'il avait omis de degrafer, entreprit de traverser la foule serrée, enjambant les bancs alignés. Un "pardon" de temps en temps l'affranchit d'excuses plus précises.
Arrivé devant la dame, il inclina la tête à l'attention des accompagnants, et fixa Pénélope.

Péné !

D'une voix forte, qui roula un instant sous les voutes, il continua :

Péné, ma soeur d'armes, ma presque vieille amie, mon pilier de taverne, heureux de te revoir ! Heureux de te voir en blanc, même si comme tu le sais, je ne cours guère les églises. Je te souhaite le bonheur que tu mérites, avec l'homme qui te mérites, ca ne fait aucun doute !

Posant ses mains sur ses épaules, il l'attira à lui et fit sonner deux bisous sonores sur les joues de la mariée.

taz etait la a regarder péné son hamie plus belle que jamais
elle avancais le long de l'allée

taz restait la imobile a la regarder s'avancer

Tu es ravissante péné, vraiment. Si féa est en retard je t'épouse.

Pénélope regarda Géro en plissant le nez puis lui sourit.

Giem et Lolotte se faisaient remarquer en courant après la grenouille, elle leur lança un regard noir pour qu'elles se reprennent, quand sans rien avoir vu venir, elle se trouva nez à nez avec Paillard.
Ses mots, si sincères la touchèrent, et bien que le protocole en soit bouleversé elle accepta ses deux bises volontiers non sans lui ordonner tout bas

File t'asseoir, j'ai pas mes bottes mais peux quand même te faire reculer de dix mètres !

Après une préparation qui mériterait à elle seule tout un récit pour y relater l'épopée que fut le choix d'un entrelacs de vêtements et de bijoux assortis pour l'ensemble de la famille Rouvray, ainsi que l'homérisme* de la toilette et de l'enfilage des habits précédemment cités, Kernos, Axel, Léane et Léandre, quittèrent leur demeure dioise, pour gagner le parvis de l'église où les noces de Fea et Péné seraient célébrées... Il était d'ailleurs plus que temps, la plupart des convives, famille, proches, connaissances, s'étaient déjà entassés dans le saint édifice.

Pourtant, contrairement à la réaction qu'il aurait eu d'habitude en pareille occasion, Kernos en avait cure. La main délicate de son épouse reposant sur son bras, ses deux enfants à ses côtés, il était empli d'une joie lui faisant oublier tout le reste. C'est donc irradiant d'un bonheur qu'il ne pouvait, ni ne voulait cacher, que le Sire de Genay et de Glandage franchit les portes de l'église, une longue cape fourrée sur les épaules et ses armes brodées sur la poitrine, embrassant la nef et les nombreuses personnes présentes de son regard étincelant et vif.

Il se pencha doucement à l'oreille de son ange blond, en profitant pour humer l'enivrant parfum de sa peau, avant de lui glisser quelques mots.

Il me semble que nous ne sommes pas si en retard que ça mon amour. Le futur marié ne semble pas être encore arrivé.

* oui, ce mot n'existe pas.

Ohoh...

Il sourit largement.

10 metres ? Tu sembles oublier certain match de soule où tu faisais moins la fière !

Prudent malgré tout, il recula tout de même de quelques pas, et sous le regard lourd de reproches de l'évêque, entreprit de regagner une place plus discrète.

En retard, pour changer, c'est ainsi qu'arriva Walan à l'église de Die. Et dire qu'en plus il avait prêté son coche à la famille de Culan et les avait regardées partir, souhaitant régler quelques détails avant de se mettre lui même en route. Mais voilà, une fois encore il s'était laissé emporté dans divers tâches avant de se rappeler de l'événement.

Peu importe, il se glissa dans l'édifice aussi discrètement que possible profitant de l'arrivée de la famille Rouvray qu'il salua d'un signe de tête amical, Sans Repos constata -d'un air étonné à vrai dire, c'est qu'il n'avait pas l'habitude de la voir en robe- que la mariée remontait déjà l'allée centrale au bras de son frère, curieusement interrompue en cela par une personne qui profita de son passage pour l'embrasser.

Saisissant la diversion, le seigneur de Meyrieu arborant une tenue aux couleurs de ce fief se glissa dans les derniers rangs et observa alors rapidement la grande assemblée. Nombre de soldats et de viennois étaient là, mais bien d'autres également, ayant (presque ?) tous les yeux fixés vers la scène qui se déroulait au centre de l'édifice.

Léovigilde arriva tant bien que mal à Dié en compagnie de Ya. Tous deux se précipitèrent à la paroisse pour la cérémonie de mariage de Pénélope. Ils entrèrent tranquillement dans l'église et allèrent s'asseoir le plus discrètement possible. Léoff reconnaissait un certain nombre de visage, mais il se dit qu'il faudrait mieux saluer tout le monde un pue plus tard. Ils étaient déjà assez en retard avec Ya qu'il ne vallait mieux pas trop se faire remarquer...

Erling etait assis, il regarda passer Péné, Ballian, fier comme pas possible essayait de cacher son émotion...

Péné...
Ah.... Enfin... Péné est Péné et resterai Péné...
Une tite larme commençait à monter, et faisant semblant d'avoir pris un rocher dans l'oeil, Erling l'essuya discretement...

Mince, on va pas pleurer pour sa cousine, il ne te la vole pas, tu pourras toujours l'embeter après...

Erling vit les mains de la dame et de cousin Cami doucement s'enlacer... Sacré cachotier que celui la...
Mais, bon, ça ne le reconfortait toujours pas lui...

Allez, un peu de courage, elle a juste promis de te rotir, pas de te taper...
On souffle un grand coup, et hop, ça y est, c'est fait...
Ma main est sur celle de ma cousine... J'espère juste qu'Al comprendra à quel point j'ai moi aussi envie de vivre ce moment et de le partager... Et que je n'essaye pas de... enfin, bon, mince, on est dans un lieu saint, oui ou non....

Petit regard en coin, je regarde Al, bouche ouverte, amies mouches, c'est le moment, qui regarde passer Pené...

Hein, qu'elle est belle...

[Chez Lotus]

Elle avait aidé Péné à s'habiller...Cette robe qu'elle portait, Dieu qu'elle était belle, à couper le souffle même. Aucune femme, aussi bien habillée fut elle, ne pourrait rivaliser avec son amie ce jour, personne, pas même la plus élégante des demoiselle ne réussirait à donner sourire plus radieux que celui qu'affichait Péné.
A peine prête, ce fut Bali qui entra dans la chambre avec son fils, du moins elle le pensait, ne le connaissant pas. Elle les suivit jusqu'à l'église, admirant Péné et souriant du bonheur qu'elle allait vivre d'ici peu, elle allait devenir la femme de celui qu'elle aimait, quoi de plus beau.

[A l'église]

Ne voulant pas déranger le début de la cérémonie, Ald fit un signe de tête à Péné et un sourire discret avant de se faufiler à l'intérieur de l'église. Elle salua discretement ses amis déjà présents, bon nombre de soldats, amis, qu'elle avait rencontré à Vienne lors de son séjour et qui lui manquaient beaucoup depuis son retour à Montélimar...Elle salua également Laura, son amie, qu'elle s'était décidée à appeler par son prénom depuis l'incident récent auquel elle avait du faire face, elle n'avait pas encore eu l'occasion de la voir et de lui parler, mais elle espérait que ce léger changement lui ferait plaisir.

Elle longea les bancs de l'église, avant de finalement retrouvé celui où se trouvait sa famille : son fiancé et sa petite fille, Indy, ses rayons de soleil.
Elle leur sourit et pris sa fille dans ses bras pour qu'elle puisse voir la magnifique mariée s'avancer dans l'allée, la petite aux yeux brillant d'émerveillement ne put s'empêcher de murmurer un "whaou" quand la mariée passa à leur niveau.

Ald regardait son amie, c'était le grand jour, et elle était vraiment heureuse pour elle.

Depuis qu'elle était entrée dans l'église, Arwel avait l'impression d'avoir oublié quelque chose ... ou quelqu'un ...Toujours près d'Ericx, elle eut soudain la réponse à sa question lorsqu'elle vit apparaître son compagnon, ce n'était pas quelque chose, c'était lui qu'elle avait oublié ! Elle devint rouge comme une pivoine lorsqu'elle l'aperçut et se fit la promesse de prendre le temps de se reposer un peu ! N'avoir pas pensé à l'attendre, lui qui comptait plus que tout pour elle ! Mirandor était maintenant près d'eux :

Bonjour ! Vous allez bien ?

Un sourire illumina le visage de la jeune femme :

ça va, merci !

Mirandor se pencha alors vers elle et lui murmura qu'elle était ravissante, elle lui repondit alors, sur le même ton de la confidence :

Ravissante, peut-être, mais une ravissante idiote alors ... J'ai complètement oublié de t'attendre ...

Alors qu'elle déposait sa douce main sur celle de Mirandor, afin de se faire pardonner son indélicatesse, elle vit Penelope entrer au bras de son frère. Elle était tout simplement somptueuse ! Arwel la regardait remonter lentement l'allée, complètement subjuguée par la beauté radieuse de la future mariée.

Pénélope trépignait, son pied droit s'engourdissait un peu plus chaque minute. Elle le souleva légèrement du sol et fit quelques moulinets de cheville en tentant de faire venir jusqu'à ses orteils un afflux de sang qui remettrait tout le mécanisme d'aplomb.

Par précaution elle réitéra le même procédé avec le pied gauche, une fois son système sanguin relancé elle reprit une position digne de ce nom.
Levant les yeux vers le vitrail le plus haut , elle sentit un rayon de lumière frôler sa joue, son coeur se mit à taper plus fort, espérant que depuis là-haut, quelqu'un veillait sur elle.

Mirandor sourit à sa belle compagne, et s'apprêtait à répliquer, mais Penelope fit son entrée dans l'Eglise, au bras d'un jeune homme... Un parent peut-être... En tous les cas, la mariée était resplendissante, bien qu'un peu tendue...

Il la regarda avancer, serrant doucement la main d'Arwel dans la sienne...

Axel était radieuse, elle venait de pénétrer dans l'abbaye au bras de son époux et ses jumeaux avançaient à leurs côtés. Elle était si fière d'eux, ils avaient tant grandi depuis la première fois où à l'insu de tous sauf de leur père et d'Aristote bien sûr, ils étaient entrés dans cette bâtisse sacrée, blottis l'un contre l'autre, bien au chaud au creux de ses entrailles. Presque inconsciemment elle passa sa main sur son ventre et ferma les yeux.
Ce jour-là, le fiancé d'aujourd'hui était son témoin, il l'avait accompagnée jusqu'au pied de ce même autel pour la confier pour l'éternité à Kernos.
Un flot de souvenirs la submergea soudain, Féa... songea-t-elle en un sourire. Il était celui qui l'avait accueilli à son arrivée , celui qui lui avait permis de gravir pas à pas les échelons de la société dioise. Féa était celui qui connaissait ses pâtisseries favorites et qui durant des années lui avait offert à chaque printemps un bouquet des jonquilles qu'elle aimait tant. Mais au-delà de cela il était surtout celui qui avait accepté d'accompagner son fils en tant que parrain et qui était son plus fidèle ami.
Il avait tant souffert tant connu de chagrins et de déceptions, il méritait amplement ce bonheur et Aristote avait si bien su lui choisir une compagne. Pénélope était une merveilleuse jeune femme et Axel était heureuse que son "CALC" l'épouse.

Kernos glissa sa main sur sa taille la tirant de sa rêverie, elle le regarda les yeux larmoyant et déposa un baiser sur sa joue rasée de frais. Puis elle prit place sur le banc qui leur était désigné par un jeune homme et s'installa entre les Léas qui étaient manifestement très excités par l'événement .

Il vit que péné commençait à gigoter dans tous les sens. Il posa sa main sur la sienne espérant la calmer un peu.

Ma péné, veux tu que je t'apporte de l'eau ? ça te fera le plus grand bien.

Il lui indiqua une chaise,

assied toi là je reviens dessuite.

Pénélope suivit les conseils de Géro et s'installa sur la chaise en prenant soin de ne pas froisser sa robe.
Quand il lui proposa de l'eau elle hocha la tête en lui chuchotant

Je mangerai bien un chou à la crème mais ça fait désordre d'avoir ce genre de pensée ici, je me contenterai donc d'un verre d'eau !

Tenshi sourit en voyant sa douce enfin de retour. Il n'avait pas tellement compris pourquoi elle avait disparu aussi rapidement. Lorsqu'elle se faufila à ses cotés il n'eut pas tellement le temps de lui demander d'explications car le marié tant attendu entrait dans l'Eglise...

Jusqu'à ce moment Tenshi ne l'avait aperçu que de loin. Lorsque son regard se posa sur la silhouette blanche de sa marraine, il en resta estomaqué. Il ne l'avait jamais vu aussi belle... C'était effectivement une très belle femme, bien sur, mais en ce jour bénit, elle était d'une beauté rayonnante. La longue robe blanche exaltait sa douceur naturelle et son visage portait la marque de la joie qui la transcendait aujourd'hui.

Il regarda progresser lentement vers l'autel, incapable de la quitter du regard. Il n'y avait pas à dire, il y avait de la magie dans l'air. Tellement de magie que Tenshi surprit son esprit à vagabonder, à s'éloigner un peu de la scène pour finir par imaginer une autre très belle femme en robe blanche... bientôt, très bientôt c'est sa tendre Ald qui progresserait vers lui dans cette tenue de pureté.

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