Mariage de Pénélope et de Féanaro Seigneur de Neuville

[A l'auberge]

Deep n'avait pas beaucoup dormi, il était arrivé en pleine nuit et avait décidé d'allé a l'auberge pour ne pas déranger Lotus vu l'heure tardive de plus elle lui avait dis que Péné dormais chez elle la veille du mariage.
Ce matin, il avait brosser son cheval pour lui enlever la poussière du voyage puis il avait pris un bon bain et taillé sa barbe.
Il était temps de s'habiller pour l'occasion et de se rendre à l"eglise

[A l'église]

Lorsque Deep arriva à l'église, un certain nombre de personne était déjà présente.
Deep rentra, et s'avance tranquillement lorsqu'il aperçu Lotus, resplendissante dans sa robe, il en resta bouche bée.
Il reprit ses esprits et alla la saluer

Bonjour Lotus, comme tu le vois, grace a gero, j'ai pu arriver a temps.
Tu es magnifique dans cette robe, elle te va a ravir.
Je vois que tout est prêt et que bon nombre d'invité son présent.
Où dois je m'assoir dis moi ?

[A l'église de Dié]

Depuis Rouen, le voyage fût fort désagréable. Routes en mauvais état, tentatives de brigandage, absence de calva en taverne; bref voyageais était de moins en moins un plaisir. Camisard de Montbazon-Navailles était cependant fier d'assister au mariage de Péné et à vrai dire, il était curieux de rencontrer l'homme qui avait su la séduire. Malgré les vicissitudes du trajet, la compagnie de son amie Timonstre suffisait à ce que le déplacement soit des plus plaisants. Après être descendu de selle le Rouennais aida de sa main, Son Excellence afin qu'elle le rejoigne. Un valet s'occupa de leurs montures.

Et bien, ma chère Timonstre nous sommes enfin arrivés !

Ils se dirigèrent tous deux vers le parvis. Un peu plus loin, à l'entrée, le Normand aperçu sa cousine Alandrisse.

Al !! Coucou !! Al ? Ah quel plaisir de te revoir ! Comment vas tu chère cousine ? Oh mais ma canaille préférée est aussi là !!! Salut Erling !

Son visage arborait un large sourire.

[Chez Lotus]

En effet, Péné n'avait pas réussi à se lever, heureusement que le mot Génépi avait su éveiller son ouïe plus que fine quand il s'agissait de cela, le tonnelet était une diversion pour l'attirer hors de sa cachette, mais elle avait tout de même prévu une flasque, au cas où comme on dis.

Péné, tu es incorrigible ^^

Citation :

Je crois qu'il faut que je m'habille !

Ah oui, ça c'est une idée, quand je suis partie quelques invités étaient là, ça doit être noir de monde maintenant, tu as besoin d'aide peut-être pour enfiler ta robe ?

Elle jeta un coup d'oeil sur la robe posée sur le lit avant de faire un grand sourire.

Magnifique robe soit dit en passant ^^

En pleine réflexion, ou plutôt recherche, un sursaut, une voix qu'elle reconnut immédiatement et un baiser sur sa joue qui termina de la tirer de sa rêverie. Se retourne pour fixer son cousin de ses prunelles pétillantes. Sourire en coin, elle le regarda un instant avant de répondre.

Je crois que je n'ai jamais voyagé aussi vite pour atteindre un lieu. Mais je me trouve dans un état correct malgré la course que j'ai effectué.

Sourire plus franc, sa coiffure par contre était dans un piteux état, des mèches rebelles ne cessaient de s'échapper. Elle souffla sur l'une d'elle, quand la jeune femme aperçut, son autre cousin. La Montbazon attrapa Erling par le cou et le fit pivoter pour voir l'arriver de Cami.

On se fait attendre, cousin. Regarde nous, on patiente sagement dehors, sous un froid pas possible. Je crois que je ne sens plus mes doigts.

Elle se mit à rire, avant de reprendre un peu son sérieux.

Je vais très bien mis à part cela. Ravie de vous revoir, Dame.

Salue envers Timonstre.

Visiblement dépité, l’ancien soldat pris un velin, une plume et un peu d’encre.
Il écrivit son message, puis l’accrocha à la patte de son pigeon favori.
Celui-ci prit son envol puis parti en direction du nord.
Enfin arrivé à la paroisse de Dié, il se posa sur l’aire prévue pour les messagers rapides.
Un homme de garde décrocha avec précaution le papier, puis l’apporta à Pénélopedefrance.

Citation :

Ma très chère Péné,
C’est avec une très grande joie que j’ai appris que tu allais te marier aujourd’hui.
Ne voulant manquer cet évènement pour rien au monde, j’avais préparé mes quelques affaires et fait seller mon cheval. Hélas un imprévu du dernier moment m’oblige à rester sur place. Tu me connais et tu imagines bien que ce n’est pas pour une broutille, mais qu'il s'agit bien d'un fait d'une grande importance.
Enfin bref, je ne serai donc pas présent aujourd’hui à tes cotés, en tous cas, pas physiquement. Mais toutes mes pensées vont vers toi et ton futur mari, bien évidemment.
Je souhaite de tout cœur que cette journée soit inoubliable, mais cela j’en suis convaincu.
Je vous souhaite également une vie pleine d’amour et de complicité.
Je te fais mille bisous et excuse moi encore.
Ton ami de toujours,
Phil
Ps pour Feanaro : Surtout, prends bien soin d’elle et chérie là de tout ton être.
Que ton amour pour ta future femme soit aussi pur que les flèches que tu mets dans la cible lors des concours.

Saleté de boue ! Il avait passé un long moment à s’épousseter, à frotter, à brosser, à quelques pas d’ici. Les chemins d’hiver, décidément, ne valaient rien pour les tenues de cérémonie. Et puis, la flemme de se changer…

Enfin, un maraud lui avait indiqué le bon chemin, et il ne semblait pas en retard. C’était déjà ca, bien qu’il eut, à sa réception, mal lue la date sur le faire-part.

Ainsi donc, la blonde guerrière se mariait. Il sourit légèrement en pénétrant dans la nef encore bien vide. Il en était heureux, heureux que la sauvage des guerres de Bretagne, la Bottée, ait trouvé chaussure à son pied. Et Aristote sait comme elle a le pied exigeant. Et plutôt bien formé, d’ailleurs…

Un dernier regard à Sirocco, satisfait de pouvoir enfin paître à son aise, et il alla s’asseoir, au bord de l’allée centrale, là où il était sur de voir arriver les mariés.

[la veille]

Ils étaient sur le départ , pour rien au monde , elle n’aurait voulu manquer le mariage de péné et Féa aussi c’est à la hâte qu’elle boucla la dernière malle en s’asseyant dessus
Tandis que Tarcis s’impatientait déjà
Romane trottinant autour d’elle, elle tira le dernier bagage tant bien que mal jusqu’à lui.

Voilà voilà ! j’arrive…
J’ai encore… pfff.. une grosse malle….pff crénom qu’c’est lourd…
Tu ne voudrais pas me voir vêtue comme une gueuse tout de même !

Voilà , tout est là !
Non Romane, ne grimpes dans la chariote et de grâce, enlèves tes doigts de ton nez..

Tandis qu’elle regardait Tarcis s’affairer à sangler les bagages, une curieuse impression de manque la saisit.
Ah mais oui , elle avait failli oublier

Mon cœur, les deux cochons bien gras que je voulais amener à Péné..on les mettra au dernier moment ?

Josselin et Bea avait chevauché depuis Marseille en espérant ne pas être en retard pour le mariage de Péné et Feanaro...

Ils descendirent de cheval remirent un peu d'ordre dans leurs vêtements et firent leur entrée bras dessus bras dessous ce mariage ne manquant pas de leur rappeller le leur

Ils se regardérent puis sourirent émus et entrèrent...

Gam regardait à droite à gauche les personnes présentes, il en connaissait la plupart de vue et avait déjà eu l' occasion de discuter avec d' autres. Mais il aperçu quelques têtes qu' il n' avait jamais vu et se rappela soudain de la missive que Bali lui avait fait parvenir la veille.

Citation :

Gam,

Comme tu le sais, je vais amener ma soeur jusqu' à l' autel. Notre famille devant venir, je ne pourrai les accueillir personnellement.
Je te confie donc cette tâche.
Il s' agit de la famille Montbazon-Navaille; voici une liste des personnes qui pourraient être présentent: Alandrisse, Camisard, Erling, Jades et Arnault, Songe, Aurore, Alixe, Alizais.
Je les laisse à tes bons soins.

Merci mon ami,

SirBalian.

*Hum, peut-être que ce sont eux. Je devrai leur demander.*

Il s' approcha ainsi de ces personnes qu' il ne connaissait pas, les salua puis prit la parole.

Excusez-moi, Dames, Messires.
Je suis l' homme d' armes Gamin, l' un des soldats du Seigneur Des Lances Pénélope. Mais tout le monde m' appelle Gam.
Son frère, Bali, m' a confié la tâche d' accueillir leur famille. C' est pourquoi je me demandais si vous étiez vous même de la famille Montbazon-Navaille?

Space arriva à l'Église après une longue route.
Il vit que beaucoup de monde était déjà la, mais apparemment il n'était pas en retard.
Il tapota sur sa besace afin de vérifier s'il avait emmené ce qu'il fallait.
Une fois la vérification terminée, il se dirigea vers Gam.

Bonjour Gam, comment vas tu?
J'ai tout ce qu'il faut dans ma besace pour tout a l'heure dit 'il en souriant

Emilie savait qu'un mariage avait lieu à Dié. Elle avait rencontré la future mariée et l'avait trouvée sympathique. Elle passa devant l'Eglise pendant sa ronde à la milice municipale et déposa à l'entrée un petit bouquet de crocus blancs accompagné d'un petit pendentif et d'un petit mot

Citation :

Je vous souhaite de faire un beau mariage, entourés de vos amis. Ces petits présents sont pour vous en espérant qu'ils vous porteront chance.
Tous mes voeux de bonheur et de longue vie à vous deux.

Emilie

Elle repartit discrètement, reprenant sa ronde, surveillant la ville en espérant que tout le monde serait calme

Arrivé à Dié

Sa cousine Giemsa lui avait envoyé un pigeon à Castres voilà quelques jours déjà de cela. Elle était venue avec Zeide et Maïryan. Elle était montée sur sa toute nouvelle jument. Eden avait été parfaite. Elle avait voyagé en journée, les routes la journée et en groupe étaient plus sûres. Reyan était resté à l'auberge, mais elle savait qu'il allait s'inquiéter jusqu'à son retour. Il fallait dire qu'elle était à peine remise d'une mauvaise fièvre, mais elle voulait être là pour le mariage de Péné et Féa, même si elle les connaissait peu.

Revenir dans le LD était pour elle une dure épreuve, mais revoir sa cousine et certainement quelques autres personnes de sa connaissance lui tenaient a coeur. Comme présent de mariage, elle leur avait amené un vase. Un vase forger par ses soins. Elle espérait que cela leur plairait.

Elle parcourait encore les mètres qui la séparaient de l'église de Dié. Il y avait déjà beaucoup de monde. Elle saute a bas de sa jument et va l'attacher à un arbre. Elle prend le petit paquet qu'elle avait mis dans une sacoche. Elle le tient entre ses mains et s'approche de l'église. Du regard elle cherche quelques têtes connu. Elle verrait cela plus tard, elle devait aller poser son présent avec les autres, près de l'autel.

Elle entre donc dans l'église, se signe et la traverse. Va poser son vase près des fleurs déjà présentes.



Se trouver ici lui faisait une sensation étrange. Mais elle était heureuse d'être là pour assister à cette cérémonie qui allait lier deux êtres qui s'aimaient ...