Mariage de Pénélope et de Féanaro Seigneur de Neuville

Dernière édition par Pénélope le Dim 1 Mar 2009 - 14:27, édité 1 fois

Elle récita le Credo puis répondit aussitôt

Je m'engage envers lui librement et sans contrainte, je lui promets un amour mutuel fait de respect durant toute notre vie, nous accueillerons les enfants que Dieu nous donnera, et les éduqueront selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.

Pénélope se tourna légèrement vers Féa en effleurant sa main de la sienne et attendit qu'il réponde à son tour.

Feanaro se tourna à nouveau vers Monseigneur Ecaterina, puis elle reprit avec le credo. Il le récita à sa suite.
Une fois terminé, Ecaterina reprit et commença à parler d'eux deux.
Il se mit à rire quand il entendit l'une des phrases :

[...] J'ajouterai pour finir le mot fou concernant Fea. En effet pour épouser Péné il faut être soit fou, soit............ fou.

Il pensait bien qu'il était fou ... fou d'amour pour elle.
Toujours le sourire aux lèvres, il écouta la suite. Puis ne nouvelle question leur était posé, Péné répondit de nouveau en premiere et répondit à la suite :

Je m'engage envers Pénélope librement et sans contrainte, je lui promets un amour mutuel et fait de respect pour toute notre vie, nous accueilleront les enfants que Dieu nous donnera, et les éduqueront selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.

Timonstre regardait tout ce beau monde entrée... pour pas faire différent... elle ne connaissait personne... elle vit alors celui qui semblait être le futur marié arrivée...

Elle ressentit alors un malaise qui émanait de son ami... qu'arrivait-il... elle remarqua qu'il évitait le regard d'une Dame qui venait d'entrer... elle resserra un peu son emprise pour essayer de le mettre un peu plus à l'aise... mais ne sachant point ce qui se passait... elle ne pouvait que soutenir son ami... elle ne posa point de question... puisque cela ne la conservait pas... elle retourna tout de même son attention vers les futurs mariés... mais ne dimina point la pression qu'elle exerçait sur sa main...

La cérémonie commençait et elle écouta avec une vive attention...

La Belle de Massilia tenait fortement la main d'Antoine en courant vers le parvi de l'église.. Pour sur qu'elle était en retard, mais elle était bien là. Elle poussa le plus discrêtement possible la porte et pénétra dans l'enceinte de la maison du Très Haut. Draguione se décapa après en avoir fait de même a Antoine. Tout ceci lui rappelait bien une journée, belle journée d'ailleurs.

Elle s'installa dans un banc a l'arrière de l'église tout en essayant de voir qui était dans l'assemblée. Elle reconnut bien du monde, beaucoup d'amis également, ses filleules et son beau-frère adoré. Son époux n'était pas là, ce qui ne l'étonnait pas trop au vu de la dernière missive qu'elle avait eu quelques jours auparavant.
Draguione resta là, en silence, a suivre religieusement le sacrement de son amie Pénélope tout en gardant une main autour de l'une des mains à Antoine. Celui ci avait bien grandit et le moment de lui raconter le mariage de ses parents était arrivé une fois celui de sa tatie terminé.

~~~~~~~~~~~~~~

Antoine regardait sa tatie les yeux bien écarquillés. Il la trouvait bien plus jolie en robe de mariée qu'en tenue de soldat. Son épée ne lui barrait pas les jambes, son bouclier ne lui fendait pas le bras en cachant ses jolies mains qui faillent rebombir plus d'une fois sur son petit fondement alors qu'il s'amusait bien souvent à lui faire moults misères.

Le petit souriait, heureux de voir sa Péné aussi jolie non loin de son futur époux. Celui qui la rendait heureux, qui la rendait aussi jolie.

Sujet: l Dim 1 Mar 2009 - 14:49

Camisard avait maintenant ses pensées entièrement tournées sur la cérémonie et la main de Timonstre ...
Pénélope était toujours aussi belle mais son visage était plus détendu depuis que son bien-aimé était entré dans l'église. Le couple semblait complice et leur union couler de source. Une grande conviction émanait de chacune de leurs paroles. L'amour entre ses deux être était manifeste.
Soudain, Cami pouffa de rire. Non !!! Rohh. Il avait osé ! Erling avait entamé un rapprochement avec la cousine Alandrisse. Rien ne semblait faire peur à ce garnement ! Comment Al réagirait ? Malheureusement il ne pourrait pas le voir; car il devait se concentrer sur le sacrement. Quoi qu'il en soit la suite des évènements ne manquerait pas de sel !

Remarquant son ami qui pouffa de rire... elle lui donna un coup de coude léger dans les côtes... non mais c'était pas le moment quand même... un visage réprobateur s'était affiché sur son visage et elle lui fit signe de rapporter son attention vers l'avant...

Nombre de messages : 1 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 01/03/2009

Shinji était arrivé quelques heures plus tot, sa fiancée Julienurs a son bras. Il l'avait laissé tout émue sur une chaise et s'était aussi tot posté près du marié et ne l'avais pas laché depuis.

La cérémonie se déroulait bien jusqu'a maintenant. Aucun incident n'avait eu lieu et la cérémonie était jusqu'a présent parfaite. Ecat avait un sens oratoire très développé et c'était un véritable plaisir de l'entendre officier. Pénélope était magnifique dans sa robe de mariée et son beau frère semblait réellement heureux.

A l'échange des consentements, il sourit heureux se préparant mentalement a la suite de la cérémonie.

Perdu dans ses pensées, la Montbazon suivit sa famille. Remercia Gamin d'un sourire puis s'assit. Elle reconnut des invités, drôle d'impression que de revoir quasiment les mêmes têtes qu'à la cérémonie de la Sénéchale, sensation de déjà vue peut être... La mariée faisait enfin son entrée, resplendissante, elle était l'astre du jour. Sourire ému, regard vers ses cousins qui l'étaient tout autant. Et cette main qui se pose sur la sienne, trop absorbé par le passage de Péné. Pour s'en rendre compte tout de suite, seul les mots qui lui dirent, la tirèrent de sa contemplation. Elle pose la main sur la sienne et le regarde souriante.

Oui, magnifique, cousin.

Retire ses mains des siennes, les croisant sur ses jambes. Malgré tout, elle observa Cami et Timonstre, secouant la tête devant ses deux là. Voilà que le cousin riait...Retour au serment, vers l'autel, le couple heureux, bientôt ça serait elle.

Enfin ! Le futur époux avait fait son apparition, suivit de l’évêque qui avait, lui aussi, daigné entrer.
L'attente avait été interminable et cela se lisait sur visage crispé de Pénélope, qui commençait à trouver le temps long. La cérémonie commença enfin.

Tarcisius, le cœur sensible, fut comme à l’accoutumée très ému. Au moment de l’échange des consentements, il serra très fortement la main de sa propre épouse, et laissa perler une petite larme. Décidément, les mariages, c’était magique.

Il revit en rêve son propre mariage et le moment où Isabeau avait dit oui. Son cœur avait été prêt d’exploser et c’était avec grande fougue qu’il l’avait embrassée avant que le prêtre lui ait dit de le faire.

Fou... Elle lui plaisait, cette officiante, finalement. Ne connaissant pas le marié, il ignorait totalement son degré de conscience. Mais il fallait bien reconnaître que le mot avait porté. Folie, certes, que d'épouser Péné. Mais la folie peut rendre heureux. Donc il avait raison de prendre ce risque.

A peine commençait-il à creuser cette question dépassant largement ses capacités de réflexion, que les consentements étaient prononcés ! Alors ça ! Lui qui avait l'habitude des cérémonies trainant en longueur, il devait admettre qu'une fois le promis arrivé, tout avait été emballé en un tournemain.

Signe positif d'ailleurs, qui signifiait qu'on allait pas tarder à ripailler. Mais, c'était promis, juré, pas plus d'un tonneau. Il avait de la route à faire.

Dernière édition par julienurs le Dim 1 Mar 2009 - 16:15, édité 1 fois

Julie était assise sur un banc a l'avant. Quelle émotion de savoir que son frère était en train de se marier! Même Eleonore semblait touché de voir son tonton auprès d'une si jolie femme. Car la tenue de la mariée était absolument magnifique.
Sa joie était d'autant plus intense qu'elle avait pendant longtemps craint que son frère ne trouve jamais chaussure a son pied. Tant il avait eu peu de chances en amour avant de rencontrer Pénélope. Elle repensa au moment ou elle avait appris leur histoire. A la choix surprise que son frère ne lui ait rien dit plus tot et tellement heureuse qu'il soit avec Pénélope. Leurs parents auraient été fiers de leur fils, si ils avaient connus Pénélope se dit elle. Elle représentait tout ce qu'ils auraient souhaité pour leur fils. Une femme belle, intelligente, indépendante, battante...

Eleonore s'agitait a ses cotés. Sa fille agée de 8 ans, assistait pour la première fois a un mariage et était impressionnée par les lieux et les habits des gens.

Elle secoua le bras de sa mère et lui demanda tout bas :

Dis maman tu pourras m'acheter la même robe que tatie pénélope!!!! je veux aussi avoir l'air d'une princesse

Julie sourit et lui chuchota

Quand tu seras grande ma chérie, mais chut on va tout rater

[ Chateau de Urre ]

La jeune femme avait eu du mal à s'y retrouver dans ses bagages . Il fallait dire qu'elle avait du redéménager t cela définitivement des Castel de Lyon et Grenoble ... et cela pour emmenager au Chateau de Urre .
Un mal fou à retrouver cette robe vert émeraude .... elle avait tout ouvert, tout mis sans dessus dessous .
L'heure approchait et ne souhaitait pas manquer le mariage de ses amis .
Quand enfin elle fut prête, Appoline accouru dans les bras de sa mère. Chevelure bien en place, pour une fois et certainement pas pour longtemps, et robe délicate .
L'équipée enfin prête et en retard sur l'horaire, pris place dans le véhicule et les chevaux se mirent à avancer .

[Die - en l'église ]

Elles arrivèrent en retard, mais s'installèrent au fond afin de ne pas faire de bruit . Antlia assista tout de même au début de la cérémonie , le coeur battant de s'être aussi pressée . Appolin, toujours ls yeux grands ouverts durant ce genre de cérémonie avait un joli sourire en travers de la figure .
La Dame de Urre se pencha légèrement puis vit les futurs mariés .... Pénélope était magnifique .... réellement . Elle eut un doux sourire.
Puis ses yeux se portèrent sur Fea, toujours aussi majestueux .
Elle joint les mains et attendit sagement, surveillant sa petite blonde, t ne perdant pas une miette de la cérémonie .

Géro était un peu en retrait du côté de péné, il avait le sourire aux lèvres. Il était tellement content pour ses amis.
Il les trouva tellement mignon devant l'autel. La ferveur des amis dans la nef rendait l'instant encore plus beau. Les voix entonnant la litanie donnaient toujours des frissons à géro.
Il leva les yeux adressant une prière au très haut. Ses pensées s'échappèrent, et filèrent vers sa bien aimée.

Il revint sur terre en posant les yeux sur son amie, sa robe bleutée s'accordait parfaitement avec ses cheveux. Lotus avait préparé cette cérémonie de main de maitre. La fête au domaine serait surement merveilleuse.

Il se reconcentra sur les futurs presque mariés.

l'église se remplissait de plus en plus. Il y avait vraiment du monde et elle se trouvait un peu perdu dans toute cette foule. Un gentil brouhaha se faisait entendre. Chacun ce saluait et se félicitait y allant de son petit commentaire sur la beauté de la marier et le retard, du marier qui finit enfin par arriver d'un pas décider.

Après quelques longues minutes d'attentes dans un silence. Elle voit enfin arriver Maï et Zeide. Ils s'approchèrent d'elle et prirent juste à côté sur le banc où elle se trouvait. Elle leur fait un sourire, ils s'étaient changés et comme toujours Maï était parfaite.

Et bien alors vous deux, je croyais pourtant que vous me suiviez ... Que c'est-il passer ?

avec soupir elle souffla.

Que de monde il y a !! Je suis un peu perdu dans toute cette foule ... Mais la cérémonie promet d'être très belle ...

Une fois assis, le marié ne mit plus très longtemps avant d'arriver. Le vicomte aperçut une amie de toujours, Axel, l'épouse de Kernos. Un immense sourire s'afficha sur son visage lorsqu'il la vit. Cela faisait tellement longtemps. Il fallait qu'il lui présente Alixe au plus vite. Trop important! Mince! Trop tard, Fea faisait son entrée. Il ne savait pas trop comment aller vite, surtout là... Il désigna Alixe du doigt et forma un petit coeur avec ses doigts. Cela était ridicule pour le Tempéré, mais ses débuts à Die refaisaient surface. Il se sentit joyeux et regarda Fea, qu'il ne connaissait jadis que comme un ancien maire de Die arriver auprès de sa future épouse.

Le Lyonnais-Dauphiné n'était pourtant pas loin du Rouergue, mais Alazaïs de Montbazon-Navailles était restée bloquée à la frontière.
Contrairement à ses habitudes, elle avait dû faire état de son poste de Chambellan de Rouergue pour obtenir les laisser-passer nécessaires ; et malgrès cela, elle était fort en retard...
La cérémonie n'était qu'à ces débuts, mais il n'était point possible de rejoindre son frère et les autres Montbazon-Navailles aux premiers rangs sans provoquer de dérangement... Elle s'installa donc discrètement au fond de l'Eglise, de toute facon c'était une place qui lui sied bien! Il serait bien le temps de saluer les qqs personnes connues au moment du banquet!

Phelim, dans le confessionnal, avait remis ses chausses et sortir l'air de rien. Il écoutait d'une oreille distraite les discours d'Ecat. Elle s'exprimait très bien, mais les histoires de Christos et de chatchiatchia ne l'avait jamais vraiment passionné. Il s'était quand même fait baptisé pour son parrain Hardryan, le même jour que Ka ...

Il sourit en se remémorant la cérémonie ... maintenant lui manquait plus que la mariée ... et puisqu'il y avait beaucoup de monde ici, peut-être pourrait-il tenter de s'en trouver une.

Les mains jointes dans son dos, Phelim fit quelques pas le long d'une allée sur le côté, en se dirigeant vers les mariés. Il en profita pour voir le visages des personnes présentes, et manqua plusieurs fois de tomber en voyant des visages de revenant, revenus d'ailleurs exprès pour le mariage.

Une fois un peu plus proche du couple qui se mariait, il en profita pour examiner de plus près la future épouse.
Péné? C'était Péné elle? Il ne la reconnaissait pas dans cette tenue .. il ne fallait pas que par mégarde, Féa ne se soit trompé de femme quand même.

Nombre de messages : 2 Localisation IG : Vienne Date d'inscription : 28/02/2009

Citation :: Maître, je suis en proie à un profond
tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais
j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un
amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question ? Que
dois-je faire ?

La Vicomtesse écoutait, les yeux brillants, la bouche restée serrée par réflexe pur (elle l'eût ouverte sinon).
Ah Seigneur, que les paroles saintes pouvaient la passionner, parfois ! Elle en restait toute émoustillée, et buvait les dires de l'évêque.

Une lueur de déception se lut dans son regard pers lorsque le passage du Livre des Vertus fût achevé. On passa bientôt aux prières plus souvent entendues, et Maryan s'employa à les réciter avec les autres le plus docilement possible.

Ils étaient bien charmants, ces mariés. Beaux comme le jour, et brûlants de passion. Dans une prière muette, la Vicomtesse leur souhaita tout le bonheur qu'ils méritaient.

Alwen avait mis Lou sur ses genoux et lui avait donné un morceau de pain à machouiller. Cela ne se faisait pas vraiment mais sinon, elle aurait dérangé toute la cérémonie en braillant comme elle savait si bien le faire...et puis, tous les regards étaient tournés vers les mariés..personne ne remarquerait ce manque de tenue. La petite semblait pleinement satisfaite et Alwen pouvait, tout à loisir, observer tout ce qui l'entourait.
Hardryan semblait très concentré sur les lectures saintes mais Alwen remarqua qu'il caressait inconsciemment les cheveux de son fils, dans ses bras. Elle ne put s'empecher de sourire...puis reporta son attention sur l'assemblée.
Il y avait tant de monde ! Les mariés devaient être vraiment très appréciés..à vrai dire Alwen ne les connaissait pas tant que cela, elle accompagnait surtout son mari mais elle se promit de faire des efforts à l'avenir pour mieux s'intéresser aux personnes qu'il appréciait...

Passés l'arrivée des divers retardataires, illustres Lyonnais-Dauphinois ou illustres inconnus, l'extase de la foule devant la mariée et sa robe... même s'il est vrai qu'elle était fort belle cette future mariée, mais moins, à ses yeux, que la jeune femme blonde qui se tenait à ses côtés... et l'agitation juvénile de ses charmants enfants qui attendaient impatiemment de voir leur "oncle" arriver, Kernos profita de se petit flottement avant le début de la cérémonie pour échanger quelques oeillades avec son épouse qui s'était rapproché de lui et avait glisser sa main dans la sienne, main qu'il s'empressa de porter à ses lèvres avant qu'un brouhaha ne s'élève de l'assistance et qu'un jeune garçon, sourire aux lèvres, ne vienne regagner sa place à côté de son père, indiquant que le futur marié était enfin parmi eux.

Le Seigneur des Lances reposa donc la main de son épouse sur le banc, mais pas trop loin de lui tout de même, et dirigea son regard vers l'autel où la silhouette de Péné et Féa se vit rejoindre par une troisième, qu'il reconnu aussitôt comme celle d'Ecaterina, ou plutôt de Monseigneur Ecaterina. Le mariage pouvait donc commencer, inauguré par la levée et les voix mêlées de l'assistance récitant son Credo avec ferveur.

Kernos écoutait attentivement les paroles de l'évêque, manquant d'éclater de rire quand elle évoqua la possible folie du fiancé de vouloir épouser Pénélope... Fou, non, aventureux... certes... La suite lui fit regagner son sérieux et resserrer affectueusement la main d'Axel, dont il soupçonnait que les larmes ne tarderaient pas à couler le long de ses joues blanches dès que la fatidique question de l'officiante aux deux fiancés serait posée.

*Plume tout à ses dossiers avait totalement perdu la notion du temps, lorsqu'elle jeta un regard à l'heure, elle faillit défaillir...Si tard! Elle abandonna ses dossiers, qui décidément prenait de plus en plus de place dans sa vie...Elle se demandait si elle ne finirait pas par se marier avec...

Courant à l'auberge, elle vit avec plaisir que sa robe était arrivée. Plume demanda à se que l'on scelle son cheval au plus vite, laissant une pièce a l'aubergiste elle monta se changer. Elle enfila rapidement sa robe, se fit un rapide chignon et rejoignit son cheval. L'église n'était pas loin, mais elle était trop en retard...

Elle fila jusqu'à l'église, descendit aussi vite qu'elle put de cheval, sa robe la gênant quelque peu. Quelques mèches de cheveux s'étaient échappées de son chignon pendant sa brève chevauchée, mais il était trop tard pour le refaire...Lâchant les rênes dans les premières mains qui passèrent, elle marcha rapidement jusqu'à l'édifice...

Poussant la porte doucement, elle pria pour que celle si ne grince pas...Les yeux fermés, elle priait tout en poussant la porte..."Juste assez pour que je puisse passer, juste assez..." Elle rouvrit les yeux, se faufila dans l'ouverture, referma doucement la porte et poussa un soupir de soulagement. Puis, elle se dirigea vers la première place libre qu'elle vit et suivit la fin de la cérémonie. Son cœur battait la chamade d'avoir tant couru, mais au moins elle était là...*

L'Evêque regarda avec tendresse les deux fiancés et continua:

- Vous qui êtes ici des fiancés, veuillez prononcez vos vœux et échanger les anneaux afin que vous soyez des mariés, unis dans un amour grand et profond.
Celui-là même qui fera de vous des être entiers, animés par le regard de l'autre.

Pénélope saisit l'anneau symbole de tout l'amour qu'elle portait à Féa, prit par en dessous sa main et d'un geste doux, fit glisser l'alliance à son doigt.

Féa, par cet anneau, je t'epouse, toi qui a su toucher mon coeur, qui a su m apprivoiser, toi qui crois en moi, en nous, toi qui m'as prouvé tant de fois ton amour, toi qui comprends si bien mes blessures et mes doutes, toi qui trouve les mots pour me faire sourire et me réconforter.
En ce jour et devant le Très Haut je te fais la promesse de te chérir et ce jusqu'à mon dernier souffle.

Pénélope se demandait si son cœur allait s'arrêter de battre ou si l'assemblée allait l'entendre tant il cognait fort.

Poum/Poum... Poum/Poum... Poum/Poum... Poum/Poum....

Il dressa l'oreille, surpris. Quel était donc ce battement puissant, qui laissait les vitraux vibrer légèrement dans leurs châsses de plomb ?

Le moment fatidique était enfin arrivé, l'évêque demanda aux époux d'échanger leurs consentements, Axel qui avait manqué d'éclater de rire lorsque Sagaben lui avait désigné sa douce d'un coeur formé par ses doigts, sentait désormais qu'elle n'allait pas pouvoir longtemps retenir ses larmes.
Elle ferma les yeux un instant comme pour retarder l'inévitable. Pénélope venait de saisir délicatement la main de Féa, et sans balbutier, elle prononça ses voeux. Axel retenait son souffle pour ne pas en perdre un miette. C'était des voeux d'une telle beauté qui traduisaient à merveille la force de leur amour. C'est alors que sans même attendre la réponse du marié les derniers barrages lacrimaux d'Axel cédèrent et un flot irrépressible déferla sur ses joues. Léandre tout aussi attentionné que Kernos s'empressa de tendre son mouchoir à sa mère, qu'il détestait voir pleurer.

Feanaro laissa Péné prendre sa main et lui passer l'anneau au doigt. Il la regardait dans les yeux, il pouvait presque voir des larmes de bonheur se dessiner sous ses yeux.
Son coeur se serra lorsque l'anneau fut completement placé au bout du doigt.

Mariage de Pénélope et de Féanaro Seigneur de Neuville - Page 5 Alliance-moyen-age

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Il s'attarda quelques secondes sur cette alliance et sur le visage de Péné, il avait envie de l'embrasser là maintenant mais il lui fallait à son tour lui passer l'anneau au doigt.
Il releva la tete et regarda Péné dans les yeux :

Péné, par cet anneau, je t'épouse, toi qui a su me redonner le sourire au détour d'une soirée à Dié. Tu m'as écouté et tu m'as conseillé. Tu as aussi su me pousser quand j'en avais besoin.
Ici, aujourd'hui, devant le Très haut, je promets de te chérir tous les jours qui soient.

Mariage de Pénélope et de Féanaro Seigneur de Neuville - Page 5 Bague-15

Mariage de Pénélope et de Féanaro Seigneur de Neuville - Page 5 Bague-15

Il lui passa l'anneau au doigt et la regarda tellement elle était belle dans cette robe, puis attendit ...

L'Evêque assista à la scène, une larme de joie et de bonheur roula sur sa joue. Elle plaça ses mains sur celles des mariés, en psalmodiant :

Au nom de Dieu, des prophètes, et de tous les Saints, au nom de l'Eglise Aristotélicienne Romaine, nous vous déclarons unis, par les liens du mariage, jusqu'à ce que l'Eternel vous rappelle à Lui !

Un diacre apporta sur un plateau, des osties et une coupe de vin. L'Evêque s'adressa à tous :

Mes amis, scellons cette union ! Communions ensemble :

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Mes amis, j'espère fortement que Péné et Féa nous ferons plein de petits enfants Aristotéliciens ( le premier devrait arriver rapidement. c'est ça le pouvoir de l'amour) !
Que j'espère fortement baptiser, dans quelques années !

Un sourire malicieux se peignit sur le visage d'Ecaterina. C'est alors que les cloches se remirent à sonner bruyamment, alors elle cria une dernière parole :

Allez en paix !

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Pénélope reçut cet instant comme un don du ciel et plissa le nez en plongeant son regard dans le sien, un regard qui la rassurait et la rendait heureuse, comme pour lui témoigner de l'importance de son engagement envers lui.

Et c’est la vue brouillée par les larmes qu’elle n’arrivait plus à retenir, qu’elle se mit sur la pointe des pieds pour l'embrasser tendrement.

Space au milieu des "affreux", écouta la célébration.
Au milieu de leurs vœux, il les observa, sachant que Fea saurait très bien s'occuper de sa chef.

Il observa ensuite les "affreux", tous présent afin de partager le bonheur de Péné.

Il se rendit une fois de plus compte que les soldats de la garnisons de vienne étaient tous soudés entre eux, qu'ils formaient une grande famille.

Son amie Pénélope venait d'embrasser son époux. Elle était enfin mariée.

Tarcisius ne put se contenir et laissé éclaté sa joie :

BRAVOOOOOOO

VIVE LES MARIES !!!!!!!

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