Baptême de Jacksparow

Je vais vous lire un extrait le Vita d'Aristote, livre Ier, chapitre XII :

Citation :

Aristote cheminait en Attique alors qu'il avait rendu visite à un lointain parent vivant à Thèbes. Il était seul, ayant laissé la responsabilité de son école à ses meilleurs élèves. Mais à une bifurcation, il se trompa de chemin et au lieu de redescendre vers la plaine et la ville, il s'engagea dans les collines. Au bout de deux heures de marches, il se rendit compte de son erreur et avisa une habitation isolée. Il décida d'y aller demander conseil sur la route à suivre.

Au fur et à mesure qu'il s'approchait, il se rendit compte que ce qui de loin passait pour une maison n'était une mauvaise cabane adossée aux rochers, masquant grossièrement l'entrée d'une grotte.

Il frappa à la porte et héla, on vint lui ouvrir. L'homme, âgé, était à peine vêtu, et seulement de haillons. Il était maigre et hirsute.

Aristote : "Bonjour, vieil homme. Je me suis perdu et cherche le chemin de Mégare."

Ermite : "C'est si tu y vas, que tu seras perdu."

Aristote : "Je n'ai point souvenir que la ville ou les routes alentours soient à ce point peuplées de brigands."

Ermite : "Qui donc te parle de brigands. Elles sont peuplées d'humains. C'est déjà bien assez dangereux. "

Aristote comprit alors qu'il avait affaire à un ermite.

Aristote : "Dis-moi, es-tu heureux ?"

Ermite : "Si je suis heureux ? Et comment ! J'ai tout ce qu'il me faut : l'eau de la rivière, des oliviers, un petit jardin. Et comme je ne suis pas maladroit de mes mains, je fabrique ce dont j'ai besoin. Je n'ai besoin de rien, ni de personne. Je suis parfaitement heureux."

Aristote : "Un homme ne peut pas se contenter d'une telle vie. Ou alors il n'est pas pleinement."

Ermite : "Balivernes ! Je suis le meilleur des hommes."

Aristote : "Comment le saurais-tu, toi qui ne connais pas les autres ? Etre un humain, c'est vivre selon la vertu. Et la vertu est une pratique qu'on ne peut exprimer qu'avec les autres. Tu vis bien certes, mais tu ne pratiques aucune vertu puisqu'il n'y a personne avec qui tu puisses la pratiquer. Tu vis comme un ours, indépendant. Mais a-t-on vu un ours faire preuve de vertu ? Tu n'es pas un homme heureux puisque tu n'es même pas un humain. Un humain a des amis, où sont les tiens ?"

Ermite : "Mes amis sont la nature, mes oliviers, mes légumes."

Aristote : "Une véritable amitié se fait entre égaux. Tu es donc l'égal d'un olivier : planté et immobile. Tu survis en marge de la Cité au lieu d'y participer comme le fait tout véritable humain. Je vais donc te laisser prendre racine, adieu !"

Et Aristote reprit sa route, descendant vers Mégare.

Aristote nous a donc enseigné par là qu'il ne faut pas fuir la compagnie des autres être humains. Il nous a aussi enseigné que l'amitié était très importante.

La religion aristotélicienne s’inspire du message donné par dieu à Aristote et à Christos. Ce message étant principalement porté sur l’Amitié aristotélicienne, qui consiste en l’amour de son prochain et en la volonté d’être un homme vertueux. L'Amitié Aristotélicienne, car il s'agit de cela ici est en fait un principe aristotélicien qui dit que tout homme est égal à son prochain aux yeux de Dieu. Elle s'accomplit le jour du baptême qui introduit le fidele dans la famille aristotélicienne. Elle nous permet ainsi d'être vertueux. En effet, la solitude étant une entrave aux vertus, l'Ermite n’est pas homme de vertu tout simplement car il n’est pas homme au départ. Il a oublié de vivre avec les autres, or les Vertus ne peuvent être vécu que si on a quelqu'un à se coté. Les vertus sont offertes aux autres, par exemple avec la charité qui ne peut pas se faire à soi même. On n'est pas charitable à s'offrir une choppe à soit même. Tout comme pour les vertus, l'amitié Aristotélicienne à besoin que l'on soit deux.
Cette amitié Aristotélicienne ne s'arrête pas forcement au baptême. Elle s'exprime aussi dans le mariage. Deux être, enfant de dieu, qui s'aime et vont engendrer d'autre enfant de dieu qui vont aimait eux aussi à leur tour. Mais elle s'exprime aussi dans tout autre sacrement. L'enterrement, Lorsqu'une famille enterre ses morts afin de lui prouver son amour passé, présent et futur. Et il s'exprime aussi dans la voie de l'église lors de l'ordination, et lorsque nous jurons aimer dieu et ses enfants, plus que nous. Faisant ainsi le sacrifice d'une vie passé.

Guillaume se tourna vers le baptisé lui offrit un cierge éteint et fait un signe au parrain ou à la marraine pour qu'il lui offre la lumière divine. C'est a dire en gros allumé un cierge et il dira

"Puis-ce cette lumière, comme la lumière divine, t'éclairer toute ta vie, vers la vertu et la recherche de la paix sur ce monde.
Ce lumière représentant la foy sera ton guide durant ta vie, et j’espère que contrairement à ce cierge, jamais ta foy ne s’éteigne."

HO c'était trop trop trop meugnon! ON dirait des n'enfants sageuh!

il reprit la parole en souriant amusé, puis air grave mais riait en son fort interrieur.

Je vais vous parler du role des parrains et marraines. Ce n'est pas obligatoire mais c'est toujours marrant de faire peur au gens.

Aujourd’hui le parrain ou la marraine semble penser que tous nous pouvons l'être.
je vais vous prouver que le travail d'un parrain ne s'arrête pas a dire, je vais être ton parrain ou ta marraine.

Aujourd'hui les voeux d'un parrain sont souvent du style:

"bienvenue." Un simple bienvenue avec un Point majuscule à la fin alors qu'il devrait être du style:

"Je suis plus qu'honorée que tu m'ais choisi pour être ton parrain. Tu as toujours été un modèle de vertu. Ma chère amie, et depuis que je t'ai retrouvée, tu as été là pour tous. . En acceptant de devenir ton parrain, j’accepte ainsi pour le restant de nos jours a ce que je devienne un guide pour toi, dans le respect des valeurs de l'Aristotélisme.
Le baptême? Pourquoi faire me diront certains Eh bien, le baptême introduit dans une nouvelle dimension. Une communion avec les autres baptisés, et une communion avec les Saints. Nous entrons ainsi dans une dynamique influée bien longtemps avant nous, par tout un peuple qui met sa foi en pratique, qui tente de respecter au mieux les enseignements d’Aristote, et principalement l’Amitié Aristotélicienne. Ainsi, nous ne sommes plus seuls, nous avons autour de nous nos frères et nos sœurs, prêts à nous aider des que cela est nécessaire, et toujours souriant pour nous aider à avancer dans la vie. Aristote l’a dit clairement, par le baptême, vous entrez dans une communauté encore plus solidaire et plus attentive, une communauté aimante. Voila pourquoi il est important d’être baptisé. Afin de ne plus jamais être seul. Le baptême est le début d’une longue marche que chacun fait sur le chemin de la vertu, marche qui va nous libérer d’une vie exclusivement matérialiste, pour nous conduire vers la vraie spiritualité, là ou le monde des idées est plus important que les possessions terrestres. Le baptême c’est le début de ta purification, que tu vas entretenir jour après jour, pour pouvoir enfin, espérer accéder au paradis.

Aujourd’hui tu entre dans ta nouvelle famille! Et je suis fier de t’y accompagner!"

et que pensez de la transmission de lumière qui ressemble bien plus souvent à un moment de silence profond alors que le parrain pourrait au moins dire cela:

"Puis-ce cette lumière, comme la lumière divine, t'éclairer toute ta vie, vers la vertu et la recherche de la paix sur ce monde.
Ce lumière représentant la foy sera ton guide durant ta vie, et j’espère que contrairement à ce cierge, jamais ta foy ne s’éteigne."

Le parrain d'aujourd'hui pense qu'il suffit donc de se dire parrain pour l'être.
Mais le parrain a des devoirs. Presque sans aucun droit qui pourrait lui être bénéfique matériellement.

Les droits d'un parrain:
Mettre une rouste à son filleul s'il la bien mérité
Le prestige du parrain:
Référent croyant et fidèle d'un homme qu'il devra guidé.
Les devoirs:
devoir de protection monétaire,
devoir de protection physique et morale
devoir d'éducation
devoir de bon père de remplacement.
devoir de guide.

Il regardait le parrain et la marraine comme pour leur faire passer un message.

vous propose de reciter ensemble le Credo de l'Eglise Aristotélicienne.

Il ne manquait plus que ça. Le cureton se permettait bien davantage que ce que ses prérogatives lui indiquaient. Il souhaitait jouer à ça. La maison de Dieu allait renfermer un peu d'animation, pour une fois.

"Mon Père, j'aurais aimé être ce jour votre parrain pour y appliquer mon premier droit.

Pour votre gouverne, je ne suis pas honoré d'avoir été choisi pour parrain, et mon futur filleul est bien loin d'être un modèle de vertu. Il sourit à l'intéressé. Au contraire, c'est plutôt un fieffé petit galopin, et sa marraine et moi aurons besoin de beaucoup de patience.
J'ai cependant accepté d'être son parrain, et ce, non pas pour me sentir responsable de toutes les bêtises qu'il fera par la suite, mais parce que je considère que je détiens une expérience de la vie, et connais des préceptes aristotéliciens qu'il est de mon devoir de lui transmettre.

Je viens de lui donner la lumière, mais est-il nécessaire que je lui explique déjà pourquoi ? La Foi n'a-t-elle pas quelques noeuds que la vie doit attendre pour dénouer ?
L'important est qu'il soit déjà éclairé par cette lumière, car le baptisé ne peut rester dans la pénombre. Mais mon devoir est l'enseignement, de la morale comme du savoir, pour le mener vers la vraie Foi aristotélicienne, et je ne saurais lui apprendre quelque chose dont il ne s'est pas encore montré digne, le bougre."

L'officiant poursuivi, en faisant réciter le Credo. Antoine murmura les paroles rituelles, la main sur l'épaule du futur filleul.

"Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN"

djulia écoute et se dit qu'il et tend de partir elle se lève doucement prend occeane dans une main maelyss dans l'autre et se dirige verre la porte


elle se retourne regarde jack triste puis sort

Cifele salua Rotule quand elle l'aperçut, puis Antoine. Il ne lui semblait pas connaitre d'autres personnes..... En même temps, elle ne prit pas le temps de bien regarder tout le monde, la cérémonie commençait.
Elle pria avec tout le monde. La cérémonie continuait, et elle se prit à repenser à son propre baptême. A tel point qu'elle perdit le cours et ne remarqua pas l'attente de Jack.
Elle "redescendit enfin sur terre", et s'excusa.
La cérémonie continua donc. Les droits et devoirs des parrains la fit sourrire. Mettre une rouste à son filleul, voilà une bonne idée.....

Puis le credo arriva, qu'elle récita donc.



[ hrp: désole, je n'ai pu être présente cette semaine, et peu de chance que je sois plus présente la semaine prochaine.... Plus de connexion internet....]

Guillaume fixa le parrain, amusé mais distrait de ses notes.

Il leva le nez vers l'individu. Mais sans regard méchant, juste un peu dédaigneux mais tout de même respectueux.

Il se demandé si le polisson parlait au curé qu'il était ou à son propre père qui, probablement présent dans l'assistance, aurait eu quelque reproche défait de son fils.

Mais il semblait qu'il y avait trop de femme et pas assez d'homme pour que le père du parrain soit là.

Il toussa plongea son nez dans son carnet de note comme pour prendre sur lui. Guillaume ne s'énervait jamais, mais il réfléchissait avant de parler.

Hum hum, Dites mon fils, est-ce avec moi que vous conversé de manière aussi cavalière en pleine cérémonie de votre filleul? ou quelque démon vous aura fait convulser les lèvres sans le vouloir? Ne vous inquiétez pas je suis exorciste. Si l'envie vous en prend je vous ferait respirer un peu d'encens, juste pour voir s'il l'on fume un esprit démonique comme l'on fume un jambon.

Guillaume sourit alors à son interlocuteur.

Pourquoi prendre ces paroles pour reproche envers vous? en ais-je fait allusion? Ais-je ébauché une critique de vous? Je n'ai fait que dire ce que le parrain doit être. N'est-ce pas mon rôle? Par contre si cela s'amuse, pendant mes loisirs je suis confesseur. Je vous le conseil, j'y vais moi même de temps à autre.

Il sourit.

Enfin bref puisque qu’on parle de gouvernance, n’oubliez pas que je suis curé et que je mérite tout autant que vous la politesse dont je fais preuve a l’égard des paroissiens qui me demande de l’aide ou d’officier. J’ai gardé un plaisir indescriptible de discuter avec vous, mais si maintenant tous ceux qui en avait envie on fini leur crise de conscience peut-être pourrons-nous finir cette cérémonie?

il attenait la réponse du parrain, qui devrait se calmer un peu.

A la réponse du curé, Antoine se demanda s'il avait eu à son encontre quelque réplique peu agréable, sinon en pensée. Tentant de se rappeler ce qu'il avait dit, le Seigneur de Sinard ne trouva rien qui pût justifier les interrogations de l'ecclésiaste, à moins que celui si ne sût lire dans les pensées, ce qui aurait été plus qu'inquiétant pour un exorciste.

Il se pencha vers l'officiant.

"Mon père, la cérémonie de baptême me semblait adaptée pour informer mon filleul sur la manière dont je compte l'aider." Il poursuivit, plus bas. "Mais je crois que l'assistance s'impatiente, il faudrait peut-être poursuivre le cérémonie."

Guillaume le regarda, souriant

Mais nous n'avons perdu du temps juste parceque vous me menaciez d'une rouste mon enfant. Ce n'est donc pas de ma faute

il sontinuait à sourire puis il reprit en regardant Jack

Maintenant, viens te plonger dans les fonds baptismaux.

Guillaume montra alors le baptistère qui n'attendait que le fidele.

Que la marraine de Jackse présente devant nous

Toi Jack, Récite le serment après moi!



Guillaume et le fidele attendait la marraine sur l’autel. Quand celle ci se présenta devant eux, elle aida Jackà rentrer dans le bain en lui reprenant son cierge, puis déclara a haute et intelligible voix :

Jack, je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
Tu viens de naître à la Foy Aristotélicienne. Tu deviens membres d'une communauté de Foy, et plus jamais ne seras seuls.

puis il se tourna vers la marraine puisqu'elle n'était pas très active et que le parrain lui était très présent

Que la marraine vienne lui offrir sa médaille et accueillir le nouveau fidele

[hrp]edit: poste en même temps que la marraine, j'ai cru qu'elle ne posterait pas désolé [/hrp]

Guillaume sourit alors a la marraine. assez amusé que cette cérémonie soitplus rapide que certaine.
Cela avait été assez plaisant.
Il regarda le baptisé

Vis dans l'Amour du Très Haut et de vos semblables, comme nous l'enseigne le Livre des Vertus, et jamais ne t’écarte de ce long chemin qui t’attend, car il te conduit à la félicité.

A présent venez tous acceuilir jack, votre nouveaux frère.

ET ensuite mangeons!!! Banquons! Festoyons!

Puis murmura

voulez vous un certificat de baptême?

sourit et se tournant vers morphee

Voulez vous bien m'aider à mettre les tables pour banquet au nom d'Aristote?

sourit, puis posa son regard à nouveau sur la femme au tatouage.

Guillaume sourit à la femme au tatouage.
Il la regarda entendant ses mots mais ne la comprenant pas.
Sortant de ses réveries il répondit quand même au bout de quelques moment de silence.

Il leva un sourcil amusé.

Cela me ferait mal d'avoir fait une cérémonie comme celle là, et de ne même pas toucher au pain!

il sourit à la femme mistère.

Vous êtes? Dit-il en fixant le tatouage

Guillaume montra alors les tables



Biensur qu'il y a un repas.
Et ici même dans la cathédrale!

il y en aura peut etre un ailleur, mais pour le reste je ne sais pas.

Il rit.

Heureux de vous rencontrer

Très heureux. chuchota t il.

Prenez place voyons!

MOn cher Jack, installer vous en bout de table, à mes cotés!